• Après la démission du chef du gouvernement, Aléxis Tsípras, fin août, les Grecs étaient appelés à voter ce dimanche pour des éléctions législatives anticipées.
• Selon les premières estimations, le parti d’Aléxis Tsípras devancerait la droite de Vangélis Meïmarákis, qui a reconnu sa défaite. Il récolterait 35,33 % des voix contre contre 28,17 %.
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19h45
Le dirigeant de la droite Vangelis Meïmarakis reconnaît sa défaite face à la formation Syriza d’Aléxis Tsípras, qui le devance de plus de 7 points selon le quart des bulletins dépouillés. «Il apparaît que le Syriza et Aléxis Tsípras sont premiers, je le félicite», a déclaré Vangelis Meïmarakis, dirigeant de Nouvelle Démocratie (ND), à la presse alors le quart des bulletins dépouillés donne une large avance à Syriza avec 35,33 % contre 28,17 %.
19h20
La victoire du parti Syriza d’Aléxis Tsípras serait plus nette, oscillant entre 33% à 35% des voix, selon un nouveau sondage sortie des urnes. Malgré une très forte abstention (autour de 40%), les Grecs pourraient donc avoir donné une deuxième chance à Aléxis Tsípras qui avait fait le pari de démissionner en août après avoir perdu sa majorité au parlement, en espérant obtenir un nouveau mandat plus solide. Mais attention : les sondages montrent un chevauchement entre les deux grands partis et la possibilité d’un basculement en cours de soirée, que la chaîne Mega a d’ores et déjà qualifiée de «thriller électoral».
18h15
Le parti Syriza d’Aléxis Tsípras (gauche radicale) dispose d’une très légère avance sur la droite de Vangélis Meïmarákis, selon un sondage sorti des urnes diffusé à la fermeture des bureaux de vote : Syriza était crédité de 30% à 34% des voix, devant le principal parti d’opposition de droite, Nouvelle Démocratie, qui recueillerait de 28,5% à 32,5%, ne garantissant la majorité absolue à aucun des deux. Le parti néonazi Aube Dorée (entre 6,5% et 8%), le Pasok socialiste et le parti communistes KKE, tous les trois entre 5,5% et 7% se disputaient la troisième place.
LIBERATION