Cependant, contrairement à d’autres de son époque, et plus tard à Hume, Bacon était moins intéressé dans le problème de la justification des généralisations inductives, que dans la façon de générer de bonnes hypothèses inductives à partir des masses de données recueillies par observation. Bacon de- visé une nouvelle méthode. Pour illustrer cela, Bacon montre comment on peut générer un pothèse sur la nature de la chaleur. Bacon nous dit qu’il faudrait énumérer toutes les choses dans lesquelles la propriété la vestigation, dans ce cas la chaleur, est présente, puis toutes les choses dans lesquelles la propriété est absent et enfin tous les cas qui admettent des degrés divers de la propriété Dans la question. De cette liste, Bacon pense que l’hypothèse naturelle présentera comme il le savait très bien à l’époque, c’est que la chaleur est produite de manière selon le mouvement ou l’excitation de molécules dans un corps. Bien que la méthode de Bacon soit sans aucun doute une façon d’appliquer l’ordre à un corps données, et même peut-être un moyen utile dans certains cas, il semble néanmoins improbable réaliser son ambition, qui était de trouver un moyen systématique de dériver des hypothèses scientifiques. potheses de la disposition des données. Il est peu probable qu’il y ait jamais eu une telle un système. Bacon n’a pas réussi à prendre en compte la créativité et l’aspect imaginatif de construction de la théorie scientifique. Quelle que soit la façon dont on organise systématiquement les données, hypothèses hypothétiques ne peuvent pas être garanties en sortir. On peut trouver que certains faits découlent déductivement d’un certain classement des données, mais ce n’est pas ce que Bacon était après. Malgré son échec à cet égard, Bacon a néanmoins fait quelques remarques importantes. tributions à la philosophie de la science et au problème de l’induction, non des moindres, comme nous l’avons vu, en étant le premier à souligner l’importance des instances négatives.
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