Tenter de survivre dans l’un des environnements les plus hostiles est une chose particulière à vivre. Et c’est exactement ce pour quoi certains individus sont prêts à payer, en s’inscrivant à une éducation à la survie au milieu de l’Amazonie. Ils le font, stage de survie Besançon errant sur la route transamazonienne qui est en fait un système de rues pavées et non pavées au Brésil qui est conçu pour aider à l’arrangement et à l’exploitation sur l’important marché en ligne d’Amazonie sous-peuplé Stream Basin. La machine comprend de nombreuses pièces clés. Un segment latéral est de 3400 milles (5100 kilomètres) s’étend de Recife, sur le littoral atlantique, à travers Marabá, Itaituba, Humaitá et Rio Branco jusqu’à Cruzeiro do Sul, à la limite du Pérou. Les deux principales liaisons nord-sud sont Rio de Janeiro-Brasilia-Porto Franco-Belém et São Paulo-Cuiabá-Santarém, plus à l’ouest. Pourtant, une autre rue relie Cuiabá au nord-ouest en utilisant la route transamazonienne à Humaitá et continue vers le nord jusqu’à Manaus et passe vers l’autoroute partiellement aménagée Upper Outside. Le rythme rapide de la conception avec ce programme de rues a soulevé des questions critiques concernant la préservation de l’écologie fragile de votre forêt amazonienne ainsi que les habitants indiens autochtones de la région au sein de la rencontre du nombre croissant d’agriculteurs, d’exploitants forestiers et de mineurs brésiliens qui ont maintenant accès à l’Amazone . com Bassin. Rien de ces préoccupations, cependant, ne devait modifier la volonté du Brésil de fournir un débouché en raison de sa population en plein essor et de ses méthodes d’exploitation de l’énorme richesse minérale, jusqu’à présent pratiquement inexploitée, du bassin, y compris la bauxite, le cuivre, le fer, le manganèse, l’essence et l’étain. Le gouvernement fédéral avait prévu de compromettre environ 100 000 membres de la famille le long de la route transamazonienne, mais cet objectif n’a pas été atteint. En fait, la majorité des personnes qui ont joué arrivent ont déserté leurs agrovilas (communautés de colons) en quelques années en raison de la régression des résultats des récoltes autour des sols pauvres, des invasions de marijuana, des maladies des plantes, de l’absence de cote de crédit et aussi des longues fourchettes. aux marchés. Un grand nombre d’agrovilas se sont transformées en allégations de délabrement et d’abandon dans les années 70. Déçus par l’expérience transamazonienne, les entités gouvernementales ont changé leur objectif principal pour encourager les entreprises capitalistes de grande envergure. Des crédits bon marché et des allégements fiscaux ont été offerts pour annoncer le déploiement de grands élevages de bétail en Amazonie légale. La conclusion de votre autoroute Cuiabá-Pôrto Velho vers 1970 a facilité les déplacements impliquant le Mato Grosso ainsi que la région de Rondônia à travers la frontière bolivienne, en utilisant ses sols plus riches en terra roxa. Il a livré un déluge imprévu d’immigrants du sud du Brésil, qui ont été déplacés du passage à la fabrication commerciale de grande taille d’usines d’exportation (soja, citron ou citron vert, coton naturel et blé entier). Entre 1970 et 1990, la population de Rondônia est passée d’environ 116 000 à plus de 1 000 000, et au début du 21e siècle, ses occupants étaient au nombre d’environ 1 500 000. La population d’Acre pour l’ouest a atteint 400 000 habitants en 1990 et au cours des 20 années suivantes, elle a augmenté d’environ 250 000 habitants.
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